Préprofessionnalisation

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Sources et documents d’histoire des relations internationales à l’époque moderne.

Cet enseignement propose une réflexion sur les documents diplomatiques à l’époque moderne. Il portera d’abord sur les conditions de leur production et sur la mise en œuvre progressive de leur conservation. L’histoire des fonds permet de mieux comprendre la nature et l’étendue des sources à la disposition des chercheurs. Elle débouchera sur une typologie de ces dernières, appuyée sur des exemples de documents. Ce cours s’achèvera enfin par une présentation des grandes orientations de l’historiographie dans le domaine de l’histoire des relations internationales dans les mondes modernes.

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Outils de la recherche en histoire politique contemporaine

Ce cours/TD articule pour chaque séance du cours et des TD.

L’objectif est de se familiariser avec les principaux outils de la recherche (archives publiques, privées, archives de l’Union Européenne, sources imprimées, orales, électroniques, audiovisuelles, littéraires, cinématographiques mais aussi sites, revues, thèses et ouvrages pionniers, etc.) et avec les grandes questions et principaux enjeux en histoire politique contemporaine.

L’histoire politique ne se limite pas à l’histoire des partis et des familles politiques, du Parlement et autres institutions, des pouvoirs et des acteurs dans toute leur diversité (individus ou groupes tels les groupes de jeunesses politiques) mais porte aussi sur les idées, discours/représentations, cultures, sensibilités, émotions politiques et mémoire. Cette histoire politique est donc aussi une histoire sociale du politique et une histoire culturelle du politique.  

Ce cours se déploie sur trois échelles : locale/régionale ; nationale et européenne (en particulier Union Européenne). Il s’étend de la Révolution française à nos jours et il est largement ouvert aux débats citoyens. C’est aussi une excellente préparation au parcours PEP (« Pouvoirs et espaces politiques ») du Master Histoire des mondes moderne et contemporain.   

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Concepts et outils des sciences sociales en histoire médiévale

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Outils de la recherche en histoire de l'Antiquité.

L’enseignement consistera en une étude des sources et des notions propres à la méthode historique, appliquée à l’histoire de l’Antiquité.

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Le cours vise à initier les étudiants à l'étude et à la lecture des manuscrits médiévaux de l'Europe occidentale entre le 5e et le 15e siècle. Les étudiants recevront les outils nécessaires pour reconnaître les différents écrits de la période médiévale et pour pouvoir les situer dans l'espace et dans le temps. Chaque cours comprendra deux parties, une partie théorique où l'histoire de l'écriture et des manuscrits sera passée en revue, et une seconde partie pratique où les étudiants seront guidés dans la lecture des textes, dans le but d'atteindre une totale autonomie dans leur étude. Les étudiants recevront également tous les outils nécessaires pour effectuer de manière autonome des recherches sur les textes médiévaux, tant dans les archives que dans les éditions numériques.

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Faire une histoire économique et sociale du commerce et des consommations

Cet enseignement abordera l’histoire des consommations, du commerce et de la qualité à travers différentes sources et méthodes. Il s’agira de s’intéresser aux acteurs, aux espaces et aux enjeux de la circulation des marchandises (denrées, vins, textiles, produits de luxe, etc.). Seront présentées des archives et leur exploitation scientifique pour éclairer la manière de conduire des recherches sur ces thématiques. Dictionnaires de commerce, journaux d’annonces, correspondances marchandes, livres de comptes de boutiquiers, dépenses domestiques, dossier de faillites seront notamment abordés au fils des séances.

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Actualités, sources et outils de la recherche sur les illégalismes dans la société française (XIXe-XXe siècles) et sur l’histoire de la Shoah. Cet enseignement, envisagé sur le temps long (XIXe-XXIe siècles), sera divisé en deux temps. Il permettra d’abord d’examiner les sources et outils de la recherche sur la société française à travers la double problématique de la police et de la justice : certains illégalismes (les jeux autorisés et clandestins, les activités politiques subversives, etc.) et la criminalité sexuelle seront ainsi évoqués. Dans un second temps, l’enseignement sera consacré aux sources de la Shoah, aussi bien à l’échelle française, en privilégiant la répression antisémite à Bordeaux pendant la période d’activité de Maurice Papon à la préfecture de la Gironde, qu’à l’échelle européenne. L’échelle européenne sera ainsi l’occasion d’aborder la question du témoignage, qui a profondément renouvelé les études de la Shoah ces dernières années. À partir de thèmes concrets directement adossés à la recherche, les étudiants apprendront à se familiariser avec des sources diverses et à réfléchir à la meilleure manière de les exploiter. Ils apprendront aussi, par le recours aux archives, à historiciser des questions qui soulèvent encore aujourd’hui des enjeux sociétaux et mémoriaux considérables.

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Articulé sur deux semestres et uniquement composé de travaux dirigés, ce cours a pour objectif d’approfondir la maîtrise des outils méthodologiques en géographie dans l’orientation de la préparation des concours de l’enseignement.

La méthodologie de la lecture et d’analyse des documents traditionnellement présents dans les commentaires de documents à l’oral comme à l’écrit sera travaillée de façon à anticiper la préparation aux concours en Master : les commentaires de cartes topographiques, d’images satellitales, de tableaux statistiques, de photographies, etc. seront au cœur de l’enseignement.

La production de documents par les étudiants sera également travaillée : la réalisation de cartes, de croquis de synthèse, de schémas heuristiques, etc.

Enfin, la méthodologie de la transmission de l’analyse à l’oral et à l’écrit sera enseignée (exposés, méthodologie de la composition et du commentaire de documents).

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Ce cours de géographie s’articulera autour de deux thématiques permettant d’amorcer la préparation aux concours de l’enseignement :

La France et l’espace français en Europe et dans le monde.

Cette approche sur la France et l’espace français s’inscrit dans le cadre d’une préparation en géographie pour des étudiants désireux de se présenter aux concours d’enseignement ou se réservant cette possibilité, la France étant en permanence au programme.

S’il ne néglige pas la connaissance du territoire français pour lui-même par la fourniture de faits localisés et de nomenclatures variées, le cours s’efforce surtout de replacer notre pays dans la double dynamique d’ouverture sur l’extérieur à travers le processus d’intégration européenne d’une part et ce qu’il est convenu d’appeler la « mondialisation » d’autre part.

Après avoir posé le cadre de la diversité des milieux physiques français, le cours s’interroge sur le processus de construction géo-historique du territoire, son étendue et ses limites, ses singularités sur l’échiquier européen et mondial.

Les recompositions de l’espace économique hexagonal (mutations agricoles, désindustrialisation, tertiarisation...) sont ensuite abordées en lien avec les processus de pilotage supranationaux comme avec l’ouverture des espaces et la libéralisation des échanges.

Cette ouverture incitant enfin à repenser les logiques et les politiques d’aménagement du territoire.

Le cours termine en s’interrogeant sur le devenir géopolitique d’une puissance de second rang dans un monde hésitant entre unipolarité et multipolarité.

Géographie des ressources.

Dans le cadre de ce cours, nous aborderons les ressources, renouvelables et non renouvelables, comme des biens de plus en plus convoités dans un contexte de rivalité géopolitique, où chacun tente de pérenniser et sécuriser ses approvisionnements énergétiques.

Le contexte du XXI° siècle et nos modes de vie accentuent la pression sur ces ressources.

En effet, les tensions sur les ressources énergétiques, hydriques et agro-alimentaires liées à l’accès au marché des pays émergents restructure l’architecture mondiale et donne à la géopolitique de nouvelles priorités.

La dissociation entre les espaces de consommation et de production génère également une pression toute particulière sur le transport des ressources qui devient de plus en plus fréquemment un facteur de conflictualités sur terre et sur mer.

Enfin, la dimension environnementale devient une préoccupation de plus en plus prégnante et le marché des ressources n’y échappe pas.

De l’exploitation à la consommation via les opérations de transformation, le marché des ressources impacte très sérieusement notre environnement naturel et humain.  

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